Le projet de loi sur les outils de gestion de la crise sanitaire est de retour à l’Assemblée nationale pour un deuxième examen.
Jusqu’ici les débats ont porté sur la nécessité du passe-vaccinal et ses modalités d’application dans lesquels je n’ai pu me retrouver.
Je regrette d’autant plus que la commission mixte paritaire rassemblant députés et sénateurs n’ait pu aller à son terme pour des raisons essentiellement de forme. Je suis convaincue qu’un compromis était atteignable et que cela aurait permis d’atténuer les effets les plus indésirables du projet de loi que nous a présenté le Gouvernement (incertitude sur la durée des restrictions de libertés, incohérences de la politique des transports, instauration de jauges sans proportionnalité, accès des mineurs aux activités, etc.).
Les débats se poursuivront durant le week-end.

