Après l’annonce de la fermeture du parvis de Notre-Dame de Paris en raison de niveau de plomb anormalement supérieur à la moyenne parisienne, j’ai écrit au Général Jean-Louis Georgelin, président de l’Etablissement public qui assure le suivi du chantier de restauration.
En effet, il m’a semblé nécessaire de l’interroger sur les raisons pouvant expliquer ces anomalies, les méthodes qui seront retenues pour nettoyer le parvis ainsi que le délai avant la réouverture des abords au public.
